Bourse à dés : La Bourse à rêves d’Obéron

Une superbe bourse à dés qui vous accompagnera dans toutes vos parties de jeu de rôle ! Que vous jouiez à Donjons et Dragons ou n'importe quel univers, ce petit sac pour ranger les dés est l'accessoire idéal pour jouer avec style.

Confection des bourses à dés

Chaque création a été pensée, élaborée, perfectionnée par la Tisseuse de Magie elle même. Elles se composent de tissus choisis spécialement pour son design unique, d'une ouverture extensible ouvragée et de détails ajoutés à la main. Pour compléter le tout, une attache est ajoutée et accessoirisée.

L'atelier

Chaque création est confectionnée depuis la chaumière de la Tisseuse dans la région Lyonnaise. Les bourses sont d'abord formées à la machine à coudre, puis l'ouverture et les détails sont apportés manuellement et sont différents d'une création à l'autre.

Matériaux

L'entreprise qui imprime ces tissus met un point d'honneur au respect de l’environnement : pratiques durables, encres et colorants à base d’eau et efforts sur les initiatives permettant la réduction des déchets. Les tissus y sont d'ailleurs imprimés seulement à la demande afin d'éviter le gaspillage.

Dimensions :

16 cm de hauteur
10 cm de fond
L'ouverture fait 3cm fermée et 10cm ouverte

L'Histoire de la Bourse à rêves d’Obéron 

Je n’ai encore jamais trouvé de traces me permettant d’affirmer avec certitude l’époque à laquelle a vécu la Tisseuse de Magie, mais je sais que ses créations remontent plus loin que ce que j’avais pu imaginer. Plus loin que ce que n’importe qui aurait pu imaginer, en fait. Suffisamment loin pour se glisser entre les mythes et les légendes.

J’ai découvert cette bourse dans les décombres d’un chantier de fouilles, au sud du Pays de Galles. L’un de mes contacts m’avait prévenu que certaines des trouvailles déterrées là pourraient m’intéresser. J’ai participé aux travaux d’excavation d’une cité ancienne. Pas bien grande, en réalité et où les habitations se mêlaient aux traces qu’avaient laissé le passage d’une forêt luxuriante, depuis abattue.

Mes yeux brillaient, quand j’ai trouvé la bourse. J’ai immédiatement reconnu le travail de la Tisseuse de Magie. Les fils qui formaient son nom, à l’intérieur, me confirmèrent l’authenticité de l’artéfact. C’est avec cette création de la couturière mythique que j’ai appris à me méfier, à rester attentive. Elle était remplie d’une poudre ; des grains de sable volatiles. Un sortilège broyé et qui pouvait plonger quiconque dans un profond sommeil.

Après des mois de recherches, j’ai enfin trouvé une piste. Celui qui l’avait possédée avant moi avait disparu des livres d’histoires, mais pas de ceux des légendes : le Roi des fées, Obéron. Il s’en était servi pour endormir sa femme Titania. La dangerosité de cet objet m’a poussé à l’enfermer dans mon coffre. Je ne l’en sortirai que pour le présenter à mes confrères et aux quelques rares conservateurs au courant de son existence.

Texte par Edouard H. Blaes